lundi 23 mars 2015



L’amour au fil du temps
L’amour, le sentiment le plus dangereux qu’un humain est capable d’éprouver, a eu des conceptions véritablement changeantes tout au long de l’histoire : bien que les gens en aient toujours souffert, l’idée, ou mieux, la mise en pratique de l’idée de chaque époque a beaucoup changé.
La base de la conception occidentale de l’amour commence avec la civilisation classique, culture où on apprécie l’existence d’une déesse comme la personnification du sentiment ; sa vertu principale était la perfection telle que Platon l’avait décrite. Nonobstant. Sa réalisation dans la rue était complétement différente, puisque les habitants de la Grèce ancienne ainsi que ceux de Rome, non seulement ne choisissaient pas leur couple, mais ils les cherchaient par convenance.
Le même système de trafic existait au temps du féodalisme : les paysans n’avaient d’autre préoccupation que celle de survivre, raison pour laquelle ils ne pensaient pas à l’idée de l’amour qu’ils avaient, même pas si elle était correcte ou fausse. 
À la fin du XVIIIème siècle, ainsi qu’au début du XIXème siècle, les premiers pas de la civilisation « moderne » ont permis la concentration de nos idées. C’est là que les philosophes commencent à parler de la liberté d’aimer celui qu’on veut ; c’était le germe de la conception de nos temps. Cependant, les discussions sur les idées ne sont pas arrivées à la matérialisation de la liberté dont les philosophes parlaient, parce que la société continuait enracinée dans le conservatisme en matière amoureuse.
Pourtant, après beaucoup de guerres, la société occidentale, pendant tout le XXème siècle, a laissé de côté tous les malheurs et, la question de l’amour a commencé à ouvrir sa mentalité, jusqu’à arriver à nos temps, où la liberté de décision et de mise en pratique ne devrait pas être dérangée. Malheureusement, l’obstruction d’une liberté si importante est encore très commune dans la société. Est-ce qu’on a vraiment évolué ? On ne sait jamais.  
                                                                                                                       Imanol


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