jeudi 9 avril 2015



 Mes réflexions sur l’amour et le désamour

Quand nous pensons à l’amour nous remontons souvent à notre adolescence où nous vivons tous nos sentiments avec beaucoup d’intensité. Normalement on connait une fille ou un garçon au lycée ou dans une fête et on commence à sentir quelque chose de spécial. Au début, parler avec lui/elle nous intimide et en plus nous croyons n’avoir dit que des bêtises quand nous arrivons à lui dire quelque chose. Si finalement la flamme de l’amour fait son apparition (les fameux papillons dans le ventre) on sent un bonheur sans limites mais par contre, si la relation ne fructifie pas, nous croyons être les plus malheureux du monde.
Avec les années, notre cœur d’artichaut d’avant n’a plus lieu d’être mais on continue à avoir besoin de quelqu’un à nos côtés. Les relations effrénées deviennent plus calmes et stables et si on rencontre la personne « idéale » on envisage la formation d’une famille. L’amour est de cette façon accompagné ou plus précisément construit sur la vraie amitié, la confiance et le dévouement envers l’autre.
Lorsqu’on célèbre le mariage, la promesse est faite jusqu’à ce que la mort nous sépare, mais malheureusement, la vie n’est pas si idyllique et l’amour des couples non plus. Ainsi, des relations qui apparemment semblaient solides et durables, se transforment quelquefois en un cauchemar, et la passion pour l’autre en apathie et rejet. Dans ce cas,  on doit affronter le difficile moment de la séparation ou le divorce, un processus où la capacité pour se mettre d’accord et le respect devraient aller de pair. Mais, en même temps, il ouvre une nouvelle période qui nous permettra de refaire notre vie.
Après tout, l’amour est une émotion intense qui envahit tout notre être, qui nous permet de partager la vie avec la personne aimée et, même s’il nous fait parfois souffrir, il nous montre que nous sommes vivants.

                                                                                                                                           Egoitz

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